KTP janvier/février 2017

2ème pèriode – 26 au 31 janvier 2017 – Nossob – Grootkolk

Le long chemin qui mène à Nossob est très tranquille, je retrouve les Suricates et des Bat-eared Fox/Otocyon. Une nuit dans ce grand camp, le plein de diesel  et hop ! départ pour Grootkolk, un des meilleurs camps, si ce n’est le meilleur


Ce matin, avant de quitter Urikaruus, avant que le soleil ne se lève, les Springboks qui ont passés la nuit alentour se réveillent petit à petit et testent leurs pattes en faisant des bonds incroyables.
 


J’ai la chance de trouver un autre Hibou et des oiseaux de proie.


J’ai raté de quelques minutes à Langklass une mum Cheetah et ses 4 petits : Caster… je suis vraiment  triste…. my Huntress ! Je pique nique à Lijesdraai dans l’espoir de voir apparaître Safran… peine perdue, elle ne se montrera pas, le waterhole est very busy.
En route :


A Nossob une multitude de Milans d’Afrique prêts pour leur migration vers le nord, peut être même pour l’Europe.


Il y a plein de Vautours autours d’une carcasse, manifestement un « Lion’s kill » d’après la longueur des côtelettes c’est un grand mammifère. Quelle débauche d’énergie pour arriver à voler une morce à son voisin !
les nettoyeurs… il n’y a pas de reste dans le désert


des Faucons, Elanion et Hibou


et à nouveau des Lions


Lion
Comme toujours, c’est le défilé des oiseaux dans les bols d’eau. Il y a plusieurs couples de Veuves royales (Shaft-tailled Whydahs) pour mon plus grand plaisir.


Une famille Lion fait son apparition au camp, ils mettront en fuite une troupe de Kudus femelles, les mâles eux tiennent meeting à Kannaguas.

 

 


Une Hyène brune et un Lion font une apparition de nuit au waterhole et un Aigle martial le jour suivant :

 

Mon ami Franco m’apprend que Federer a battu Wawrinka, il est un grand fan de ce Saffie pour moitié !
A Union End, le bouquin a disparut pour faire place à des grandes cosses où l’on peut écrire un mot et son nom, sympathique initiative !


À Union End picnic spot un Faucon chiquera (Red-necked Falcon) dévore sa proie harcelé par un Drongo brillant.


Un petit détour à Kannaguas, tout en observant des Oryx nerveux, je vois dans le lointain une « forme » arriver. Serait-ce Safran ? NON il s’agit de Rosa, une femelle Léopard qui n’a plus été vue depuis quelque temps. Vision magique… magnifique, elle boit et s’en retourne d’où elle est venue, suivie des Oryx. Ils me montreront longtemps son emplacement… dans les hautes herbes !


retour au camp, les fleurs méritent vraiment quelques « macro » portraits


une chenille sauve sa peau, dans un premier temps, les Lézards n’en veulent pas, arrive un Gonolec rouge et noir qui ne fera pas la fine bouche !


le lendemain, à Kannaguas, se sont les Gnous qui monopolisent le waterhole, sans éducation ils entrent tous dans le bassin, pendant que les jeunes se tiennent à l’écart


Les Bubales sont plus tranquilles


et enfin une belle série d’oiseaux, tous plus beaux les uns que les autres, avec de si belles couleurs

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et même construisant et/ou nourrissant un nid ou des jeunes

Dans un des deux loops de Lijersdraai je découvre un grand terrier… j’attends un peu, mais personne ne se montre… ni Safran d’ailleurs. J’apprends qu’elle a été vue dernièrement (en mai 2017) avec 2 petits, portante elle était donc cachée et/ou sur le point de mettre bas.


J’apprends aussi que de Guépards ont été vus à Union End… caramba encore raté 😦

Federed a battu Nadal ! c’est dingue d’avoir ces nouvelles au
fin fond du Kgalagadi… sans réseau. Merci Franco 😎

à suivre… 3ème période

KTP janvier/février 2017

19 janvier au 21 février 2017

Une fois encore, malgré les difficultés, je me lance dans un voyage « intercontinental ». Plusieurs milliers de kms me séparent de l’Afrique du Sud, en particulier du Kgalagadi.

Quelques jours chez mes amis à Upington pour me faire chouchouter… faire des courses pour 1 mois, chercher le gros 4×4 que j’ai loué, pour une fois, dans une autre compagnie et qui me sera bien utile. Inutile de dire que cette grosse bagnole fonctionnera à perfection, contrairement à celles louées chez un des seuls « fiables et bon marché », selon son propriétaire… loueur de voiture du lieu… mensonges ! Avec une autonomie de plus de 1000 km (contre 600), sans panne et nettement moins chère, elle a dépassé, et de loin, celle du loueur local et cela change tout quand on passe 5 nuits à Grootkolk.

Pour une fois j’ai choisit un frigo à ventilateur… sans faille, lui aussi.

En plus j’ai un parcours de rêve dans le parc…

Après avoir pris mes marques à Twee Rivieren en parcourant « the Nossob dry river bed », fait le plein de Hiboux, Cigogne et autres aigles et Faucons, je me lance à l’assaut de Urikaruus, où l’on m’a attribué le nouveau « chalet » qui porte le doux nom de « honey moon » !!! Je m’immerge pour 6 nuits, sans voisin, avec une large vue sur la vallée, complètement isolée….

Barn Owl/Chouette effraie

1ère période 19 au 25 janvier 2017 – TR – Urikaruus…

il y a des Lions à chaque waterhole… comment vais-je trouver des Cheetahs ?
La première nuit, les chacals m’avertissent qu’un Léopard est au waterhole… suis pas prête pour les photos, je serai prête les nuits suivantes, mais le Léopard n’est pas revenu !

Les nuits suivantes un Grand-Duc de Verreaux et une Hyène brune font une apparition, le Lion marqué à la cuisse gauche vient un matin pour se désaltérer.
Le Faucon lanier est toujours là, prêt à la chasse.

Toutes les après-midi, à mon retour, je suis accueillie par une Chevêchette du Cap et même le dernier jour par une Chouette effraie.
En fait, la Perlie a deux jeunes et j’ai beaucoup de peine à les photographier toutes ensembles.
La caméra trap fonctionne bien, pas d’herbes folles devant le grillage, elle attrape même une Lionne.
Le Gonolec couve toujours, trop haut pour avoir une bonne photo.

Un matin, j’ai même la chance de trouver des Suricates, une multitude de Suricates. J’aperçois des queues dressées dans les hautes herbes, je stoppe… et ils se mettent à jouer sur la route… photos impossibles à travers le pare-brise, j’attends donc de les avoir de mon côté. Il y a plein de jeunes, ils bougent beaucoup et sont difficiles à immortaliser !

Tout au sud de la vallée, 2 Cheetahs sont couchés au pied d’un grand arbre, vraiment difficile à identifier, j’attends pourtant qu’ils bougent et BINGO j’ai des photos des jambes… à travers les hautes herbes !!!
Sur la route, en rentrant, maman Springbok a déposé son nouveau-né… elle le laisse pour aller brouter, le temps qu’il se dresse sur ses pattes. Je ne reste pas, mais avertis les voitures et un camion, du danger que court ce petit.

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à suivre … 2ème période